• Deux chercheurs en neuro-marketing des universités du Maryland et de Tillburg viennent de montrer qu'un 1/10e de seconde suffit pour que notre cerveau identifie une publicité et son message.

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  • A la recherche d'un gène pour expliquer la longévité...

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  • Nos compagnons les chats révèlent leur génome et nous aident à comprendre les raisons de leur domestication.

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  • A l'heure du développement grandissant de l'impression 3D, une société bordelaise propose de créer des tissus humains grâce à cette technique.

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  • Des scientifiques auraient trouvé le moyen de réduire votre consommation de cigarettes sans patch et sans substitut... simplement en respirant certaines odeurs pendant votre sommeil.

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  • Un conseil : pour éviter de se faire dévorer par les moustiques, lavez-vous les pieds !

    En effet, une éAnopheles gambiaetude de doctorat d'un chercheur, Remco Suer, de l'Université de Wageningen (ne me demandez pas où cela se trouve !) vient de démontrer que les moustiques de l'espèce Anopheles gambiae se repèrent aux odeurs. Cette découverte est tout à fait importante car ce moustique est porteur du parasite du paludisme.

     

    Cette espèce de moustique utiliserait ses organes olfactifs (soit ses deux antennes, ses deux pièces buccales et sa trompe) pour détecter son repas, c'est-à-dire nous, petits humains. Dans un premier temps, il repèrerait le dégagement de CO2  émis pendant l'expiration, et ce, à une distance de plusieurs dizaines de mètres ! Mais en se rapprochant, l'insecte ne suivrait pas le chemin du CO2 : il opterait alors pour la zone des pieds, son endroit favori pour nous piquer !

      

    Mais qu'est-ce qui l'attire donc tant vers nos pieds ? Ce sont ... nOdeurs de piedsos odeurs !!! De précédentes études ont démontré que les bactéries présentes sur les pieds produisent des odeurs, dont 10 ont été identifiées comme attractives pour cette espèce de moustique. Le chercheur Remco Suer a quant à lui démontré que 9 de ces 10 odeurs sont détectées par les neurones olfactifs des pièces buccales et que 5 sur 10 détournent le moustique de son chemin du CO2 expiré vers les pieds.

      

    Désormais, les études vont s'orienter vers la recherche d'odeurs attractives qui détourneraient le moustique de son repas, des odeurs qui bloqueraient le récepteur olfactif du CO2. En attendant, l'étude ne précise pas si le mécanisme est comparable à nos moustiques mais sûr que j'insisterai sur le bain de pieds cet été !

      

    Pour en savoir plus :

    http://www.sciencedaily.com/releases/2011/05/110506073756.htm

      


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  • Une anecdote sur le chocolat plutôt sympathique, lue au détour de mes furetages sur le net... mais bon je préfère prévenir que je ne sais pas trop ce qu'elle vaut !

      

     Des chercheurBarres chocolats de l'Université de Harvard ont suivi la consommation de chocolat d'une population de 8 000 hommes âgés de 65 ans en moyenne pendant 5 ans. Ils l'ont mis en corrélation avec la durée de vie... et en déduisent que consommer du chocolat avec modération augmente l'espérance de vie !

    L'effet viendrait des flavonoïdes contenus dans le cFormation plaque d'arthéromeacao. Ils seraient antioxydants, limiteraient l'oxydation des lipides dans le sang, et ainsi empêcheraient le développement de la plaque d'athérome dans les artères (c'est un dépôt de graisse sur les parois de l'artère, rétrécissant son diamètre, jusqu'à obstruction formant alors un caillot et débouchant sur un infarctus).

      

    Tout cela est donc une bonne nouvelle, si ce n'est que les chercheurs entendent par "modérément" la consommation d'1 à 3 barres de chocolat... par mois ! C'est là que ca se corse ; qui peut donc se contenter de si petites quantités ???

      

    Pour en savoir plus :

    http://www.medsyn.fr/perso/g.perrin/cyberdoc/id/id7.htm

    Pour aller plus loin :

     http://www.carotide.com/espace_public/public_plaque_d_atherome_formation_et_evolution.html


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  •  UCafetière filtrene étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Barcelone montre que des composés toxiques, nommés furanes, sont en concentration plus élevée dans un café préparé par une machine à capsules que dans un café préparé par nos bonnes vieilles cafetières traditionnelles à filtre.

    Les furanes sont des substances reconnues cancérigènes qui se retrouvent dans tout aliment ou toute boisson soumis à un traitement thermique (pour les experts, ils sont le résultat d'une réaction dite réaction de Maillard).

    Capsules de café

    Pourquoi plus de furanes dans un café de type " what else " pour ne pas citer de marque , que dans un café de type " Grand Mère sait faire un bon café " ? Parce que ce composé est volatile : dans les capsules scellées hermétiquement, il ne peut donc pas s'échapper, alors que dans une cafetière à filtre, le café est brassé par la pression de l'eau chaude, et les furanes peuvent s'évaporer.

    Prenons maintenant quelques exemples de concentrations : 117 à 244 nanogrammes de furanes par millilitre pour un café à capsule contre 12 à 35 nanogrammes par millilitre pour un café filtre.

    Pour finir, le petit mot des scientifiques qui rassure : ces valeurs sont estimées non dangereuses quelque soit le café que vous adopterez ! En effet, le niveau maximum acceptable atteind les 2 microgrammes par kilogramme de masse corporel. Donc ils ont calculé qu'une personne pesant en moyenne 70 kg devrait ingérer un maximum de 30 tasses de café à capsule ou un maximum de 200 tasses de café filtre par jour pour atteindre le maximum de furanes acceptable !

    Nous voilà donc rassurés : nous ne serons pas obligés d'interrompre la fréquence de nos pauses café ! Quant à savoir si ces chercheurs sont sponsorisés par George, l'étude ne le dit pas...

      Pause café

      

    Pour en savoir plus :

    http://www.sciencedaily.com/releases/2011/04/110413090012.htm   

      


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  • CuivreCe 7 Avril se déroulait la Journée Mondiale de la Santé sur le thème de la lutte contre les résistances microbiennes. A cette occasion, une équipe de scientifiques de l'Université de Southampton réalise en direct cette expérience très simple : des bactéries détruites au simple contact d'une plaque de cuivre.

    Cette propriété serait connue depuis longtemps mais les mécanismes d'actions Bactériesdu cuivre sur les bactéries ne seraient pas encore tous dévoilés. A vérifier, mais il semblerait que le cuivre puisse perforer la membrane des bactéries qui verraient alors leurs cellules submergées d'ions cuivre, toxiques à hautes doses. En tout cas, plus de 99 % des bactéries disparaîtraient d'une surface composée de cuivre, sans aucun traitement particulier, juste sous l'action du temps (environ deux heures) et à température ambiante.

      

    Aussi, devant la recrudescence des cas de maladies nosocomiales dans les hôpitaux et la résistance de plus en plus grande des pathogènes, la tentation est grande d'utiliser le cuivre un peu partout dans les hôpitaux ! Ce qui a un coût forcément... Que les Directions économes et avides de rentabilité proposeront d'éviter à grand renfort de solution hydroalcoolique pour se laver les mains ! Les statistiques montreront bien que cette simple utilisation suffit déjà... Ou comment la santé est aussi une marchandise...

      

    Pour en savoir plus :

    http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/sante/20110407.OBS0938/contre-les-microbes-le-retour-du-cuivre.html

    http://www.antimicrobialtouchsurface.com/


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  • Des chercheurs de l'Université de l'état de Caroline du Nord ont montré que les différences craniofaciales entre hommes et femmes tendent à s'atténuer au fil des siècles.

    Le résuCrâne ltat repose sur l'étude de plus de 200 crânes espagnols datant du XXe et du XVIe, et environ 50 crânes portugais du XXe. Par comparaison, les chercheurs se sont aperçus que les différences étaient bien plus visibles il y a 4 siècles. Ainsi, par exemple, de nos jours, les crânes des femmes espagnoles sont moins larges que ceux du XVIe siècle. Mais les femmes réclamant sans cesse l'égalité des sexes, ces caractères s'estompent. Ces changements morphologiques seraient la conséquence de l'influence de facteurs environnementaux ou de l'alimentation. Comme ma maman disait, à force de manger des cornichons, on le devient !

     Quelle application ? Heureusement, il y en a une ! Les différences retrouvéesCrâne australopithèque entre hommes et femmes pourrait favoriser l'identification du sexe d'un individu dont on ne retrouve que le crâne lors d'une enquête criminelle. Ou encore, identifier le sexe d'un ante-homo-sapiens-sapiens. Imaginez tomber demain sur le crâne d'un australopithèque ; plus de souci pour choisir entre Lucy ou Lucien !

      

    Pour en savoir plus :

    http://www.sciencedaily.com/releases/2011/04/110404093155.htm


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